Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

bouygues immobilier - Page 3

  • MUTATIONS URBAINES A VANVES ET AUTOUR DE LA GARE DU GRAND PARIS EXPRESS (suite) : LA STRATEGIE DE LA LENTEUR

    Dans le triangle d’or de Vanves, 2 promoteurs ont signé avec les propriétaires de pavillons, ou sont sur le point de le faire pour mener à bien 3 opérations l’une par Bouygues Immobiler (54 logements) av du Général de Gaulle, et les deux autres par Franco Suisse à l’angle des avenues de la Paix/Général de Gaulle et rue du Clos Montholon. Quelques uns résistent pour faire monter les enchéres. Pas vraiment d’opposition très ferme peut être à une ou deux exceptions prés

    Pour une simple raison, comme l’explique l’un de ses propriétaires : «La plupart sont retraités Et les plus âgés sont tentés de vendre car ils s’aperçoivent qu’avec l’âge, monter un ou étages va devenir difficile. Certains ont déjà eu des accidents ! Alors les propositions faîtes par ses promoteurs les intéressent. Quant à ceux qui ne sont pas encore à la retraite, mais pas loin, ils pensent vendre pour aller s’installer en province où ils ont déjà une résidence secondaire ! »  D’autant plus que ses promoteurs proposent de les racheter un tiers de plus que le prix du marché. Pour ceux qui sont prêt à s’installer dans leur résidence, l’un des deux promoteurs est prêt à faire 15% de rabais

    Ainsi en adoptant cette stratégie de la lenteur, ses promoteurs peuvent plus facilement regrouper plusieurs pavillons pour faire une belle résidence. Et de surcrot, elle permettra de laisser passer les échéances des municipales dans moins d’un an, ce qui n’est pas pour déplaire aux élus qui ne souhaitent pas de vagues durant la campagne. Franco-Suisse ne cachait pas ses derniers temps qu’il a acquis plus de terrains qu’il en fallait pour construire son immeuble à l’angle La Paix/Général de Gaulle. De quoi même faire une seconde résidence différente dans son prolongement avenue du Général de Gaulle

    Avec le temps, toute cette zone devrait voir disparaître ses pavillons au profit de résidence de 3 à 4 étages d’ici une dizaine d’années. Seule ombre au tableau : les commerces, les équipements pour accompagner la mutation de ce triangle d’or. Il y a quelques commerces et restaurants au fort d’Issy, mais comme l’a expliqué le Parisien récemment, on ne peut pas s’y garer ! Le quartier de la gare à Clamart : Difficile d’accés à cause du chantier du Grand Paris Express, pour l’instant. Et les promoteurs n’ont pas prévu de locaux commerciaux au rez de chaussée de leurs futures résidences. Ce qui va poser un sacré problème, à moins que cela commence à bouger au carrefour du Clos Montholon

  • L’EVENEMENT DU JOUR A VANVES : DES PETITIONNAIRES RENDENT FEBRILE LA MAIRIE

    Rien de bien méchant, mais les riverains de la rue Raymond Marcheron qui pétitionnent contre le projet de Bouygues Immobilier à l’emplacement de deux pavillons au 52 et 56 de cette rue depuis deux samedi, rend fébrile la mairie : Comme les pétitionnaires se sont installés sur le trottoir à côté des pavillons, elle a envoyé la police municipale samedi dernier. Du coup, ils ont reculé dans l’impasse Alexandre, voie privée. Hier, pas moins de 5 maires adjoints, et pas des moindres, étaient sur le terrain, avec la plaquette en main « politique urbaine de la ville – Pour une croissance maitrisé » : Françoise Saimpert (Associatons) et Xavier Lemaire  (Commerces) sur le trottoir d’en  face, Pascal Vertanessian (Urbanisme) pendant un moment rejoint par Bettrand Voisine (Finances) et Bernard Roche place de l’insurrection,  qui s’en sont allés distribuer la plaquette devant le marché.

    A entendre ses riverains, il ne s’agit pas de s’opposer à ce projet de construction, mais de mieux l’intégrer dans l’environnement en l’alignant sur les façades de cette rue pour élagir le trottoir. «Les vanvéens rencontrés  n'arrivent pas à croire que le trottoir ne va pas être agrandi. Il faut dire qu'ils vivaient en direct la difficulté de se croiser et de circuler sur cette portion de la rue» constatait l’une des pétitionnaires et riveraines du projet  Ils n’en vérifient pas moins, à entendre les commentaires des vanvéens qui signent, un certain agacement en témoignant dans d’autres quartiers, pas très loin, de la dégradation de leur environnement, l’un ne voyant plus la tour Eiffel à cause de cet immeuble construit à l’angle République/Marcheron, l’autre se plaignant de pavillons fissurés villa des Matraits à cause d’un immeuble construit voilà cinq ans dans des conditions déplorables dont le contentieux n’est pas encore réglé.

    Et face à eux, ils ont des élus qu’ils tiennent comme responsables de cette politique de « laisser faire »,  et qui expliquent « ce n’est pas un projet de la ville ! ». Il n’en reste pas pas moins que ces riverains ont collecté 370 pétitions en 4H samedi dernier, presque autant hier, sans compter les 400 signatures leur site Internet, ce qui n’est pas négligeable

  • HAUTS DE VANVES : LES RESIDENTS DE NIWA EMMENAGENT ET LA RUE A BRIAND BIENTOT EN RENOVATION

    Il a été beaucoup questions de chantiers menés par GPSO, la ville, la Société du Grand Paris (Gare du Fort d’Issy/Vanves/Clamart), la RATP (pour la ligne 59), par cet investisseur vanvéen pour ouvrir un restaurant italien dans ce petit pavillon coincée entre l’école Larmeroux, et le parc F.Pic sur lesquels reviendra le Blog bien sûr, avec aussi ses dossiers qui traînent à cause du nombre d’intervenants à décider, comme le mur anti bruit prévu pour protéger les riverains de la ligne SNCF, ou la rénovation de la rue de l’Avenir à cause de  5 à 8 copropriétaires qui n’ont pas signés les documents qui permettraient de déclasser cette voie privé. Sans parler des propriétaires de chiens indélicats, des passerelles de la SNCF quelque peu vétustes et mal entretenues, etc….

    Mais finalement, c’est la rue Aristide Briand qui a retenu l’attention, notamment dans sa section entre René Coche et Diderot avec cette résidence NIWA (Bouygues Immobilier) qui devrait commencer à accueillir ses premiers habitants à partir du 5 Décembre. La ville avec GPSO a prévu une requalification de cette partie de la rue, sans remettre en question le sens interdit, ni son sens actuel, qui évitera finalement un circuit malin d’avant chantier. 400 000 € sera consacré à sa rénovation qui concernera l’éclairage,  la végétalisation avec des arbres (19) côté résidence, des jardinières côté créche et maison de retraites, car une canalisation de gaz souterraine empêche d’en planter, la chaussée avec plateau surélevé aux passages piétons, trottoirs en enrobé rouge avec une piste cyclable, des places de stationnement préservées et un dépose-minute. «Lorsque le chantier NIWA a été lancé, on a changé le sens interdit pour protéger l’acèés à la créche. On attendu la fin du chantier pour adapter cette voie à la circulation douce, en gardant le sens interdit qui a donné satisfaction » a indiqué Bernard Gauducheau qui considère qu’on est à une époque où l’on commence à prendre conscience de la nécessité de sortir du « tout voitrure », de privilégier les circulations douces comme Vanves l’a fait avec la rue Sadi Carnot, même si beaucoup ont du mal à respecter les zones « 30 » et »20 ». Les travaux de la rue A.Briand sont prévus au printemps 2019